Un intéressant débat par messages interposés entre Bob et Alice a été publié par le Monde. Mais, désolé Bob, vous ne nous avez pas convaincu du tout. Mais alors pas du tout. Pas plus qu’Alice ne l’a été, d’ailleurs.
#NONauStopCovid
a le regret de vous annoncer
le décès d’une liberté individuelle
ce mardi 2 juin à 12 heures,
suite à un acharnement liberticide
par voie de traçage numérique.
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#RestezLibres #StopTracking #NONauStopCovid
Une enquête sur France Info se conclue ainsi : « On ne sait pas si cette appli va vraiment servir, mais je vois déjà pas mal de monde qui commence à grenouiller autour parce qu’ils ont compris qu’il y avait des budgets qui allaient être débloqués. »
Clair ! Non ?
Pendant la crise du coronavirus, Cynthia Fleury a développé le concept de « bien-surveillance ». Elle a fait part de cette dérive sur France Inter, invitée pour le Grand Entretien.
« Au nom de la sécurité, du bon sens, de la protection des uns et des autres, on pratique une surveillance qui relève du dictatorial et du liberticide ».
Lisez bien l’avis de la CNIL qui a rendu le 26 mai dernier son avis sur les conditions de mise en œuvre de l’application « StopCovid ».
Elle recommande « le libre accès à l’intégralité du code source ». Et donc, est-ce le cas ?
Découvrez le dernier message posté sur Twitter de Jean-Frédéric Poisson au sujet de l’application StopCovid et de ses conséquences.
Découvrez le dernier message posté sur Twitter de Jean-Frédéric Poisson au sujet de l’application StopCovid et de ses conséquences.
La mise en place de l’application de tracking StopCovid a été approuvée ce mercredi soir par 338 voix contre 215 à l’Assemblée nationale. Le secrétaire d’État au numérique, Cédric O, déclare pouvoir la déployer dès la fin de la semaine.
Dans cette tribune, le président du Parti Chrétien-Démocrate s’inquiète du dispositif, et invite les citoyens français à ne pas utiliser l’application.
(…) dans un contexte déjà lourd de graves attaques contre nos libertés, nous vous demandons de voter contre le projet gouvernemental.
Alors que les députés ce mercredi 27 mai, puis les sénateurs jeudi 28 mai, sont appelés à débattre et voter sur la proposition du Gouvernement d’Innovations numériques dans la lutte contre l’épidémie de covid-19, j’ai envoyé une lettre à tous les Présidents de Groupe politique et aux non-inscrits expliquant notre position. En voici le fac-similé ci-dessous.
